Il y en a qui sont désolés de voir que Nouvelle Acropole est parfois malmenée dans la presse. Peut-être ne savent-ils pas que les journalistes ont rarement le temps de conduire une enquête sérieuse sur les sujets qu’ils traitent. Ainsi, ils sont obligés de recopier les informations disponibles, souvent publiées par des confrères. C’est l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’ours. Et l’ours devient en général de plus en plus gros et effrayant au fil des histoires.
Il y a aussi ceux qui veulent épater leurs lecteurs en démontrant que l’ours est en réalité le terrible Yeti des neiges, que personne n’a jamais vu, mais eux oui ! Ces journalistes peu scrupuleux ne font généralement pas long feu, heureusement.